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Question : Il existe dans mon district un centre islamique construit grâce à un prêt à un grand intérêt. Est-il dès lors interdit à l’étudiant musulman de prier ou de mener d’autres activités dans cette mosquée ? Faut-il qu’il aille à une autre mosquée du district ?

Question : Notre mosquée ne dispose pas d’un imam régulier. Qui devrions-nous désigner pour nous servir d’imam.

Question : Quel est le règlement à appliquer à la location d’une église pour y célébrer les cinq prières et la prière du vendredi et celles des deux fêtes malgré la présence de statuettes et d’autres objets qui meublent habituellement les églises, quand on sait que les églises constituent le plus souvent les locaux les moins chers que les chrétiens puissent offrir en location, les autres locaux étant ceux proposés par les Universités ou des institutions caritatives pour qu’on en profitent gratuitement à ces occasions ?

Question : Qu’en est-il de la vente d’une mosquée quand les musulmans ont quitté la zone qui l’abrite et qu’on craint qu’elle ne soit endommagée ou occupée ? Les musulmans achètent souvent des maisons et les transforment en mosquées. Mais une fois la majorité des musulmans du quartier partis pour des contraintes de travail, les mosquées sont abandonnées ou négligées. Elles peuvent même être saisies par d’autres. Pourtant il est possible de les vendre ou les échanger contre d’autres mosquées situées dans des endroits où se trouvent des musulmans. Qu’en est-il de la vente ou de l’échange ? En cas d’impossibilité d’échange, quels seraient les domaines d’utilisation légaux du prix de la mosquée ?

Question : Comment apprécier la prière d’un prieur qui s’est placé à droite de l’imam faute de place dans le rang des prieurs ?

Question : Voici un homme qui a participé à la prière collective de l’aube. Puis un autre homme arriva après la fin de la prière et demanda au premier de reprendre la prière à ses côtés à titre surérogatoire pour que lui ( le retardataire) obtienne la récompense d’une prière collective..Qu’en est-il de cette pratique ?

Question : Est-il permis de déplacer des biens affectés définitivement à la mosquée tel qu’un placard trop encombrant ou devenu superflu ?

Question : Est-il permis de lire le texte du Coran pendant les prières surérogatoires des nuits de Ramadan ou pendant la prière célébrée suite à une éclipse solaire?

Question : Agrée-t-on la prière de celui qui reste un mois sans raser les poils de son pubis ?

Existent-il des différences entre les hommes et les femmes concernant les modalités d’accomplissement de la prière?

Question: Allah le Très Haut a dit: «Glorifiez Allah donc, soir et matin! A Lui toute louange dans les cieux et la terre, dans l’après-midi et au milieu de la journée.» (Coran,30 :17-18) Ces versets ne mentionnent que quatre prières. Pourtant les musulmans en pratiquent cinq (4+ 1 apportée par la Sunna?) pourquoi n’a -t- on pas mentionné la cinquième (dans le Coran)? Je suis un musulman sérieux et ma question ne vise pas à contredire le Coran.

Pouvez-vous nous donner le nombre de rak’a des prières surérogatoires et leur horaire d’accomplissement ?

Existe-t-il une preuve sur la nécessité pour la femme de couvrir ses pieds pendant la prière ?

Si une femme voit ses règles au cours des 9e,10e et 11e jour de Mouharram, doit elle rattraper le jeûne de ces jours une fois sa purification rituelle recouvrée ?

Je connais le mérite du jeûne observé pendant le jour d’Achoura notamment son aptitude à entraîner la rémission des péchés commis au cours de l’année précédente… Mais nous employons le calendrier grégorien et je n’ai pu connaître l’arrivée d’Achoura qu’au matin. Comme je n’avais rien mangé, j’ai eu tout de suite l’intention de jeûner. Mon jeûne est il valide? Vais-je bénéficier du mérite attaché au jeûne de ce jour? C’est-à-dire la rémission de mes péchés de l’année précédente?

Je veux jeûner le jour d’Achoura cette année. Certains m’ont informé que la Sunna veut qu’en plus d’Achoura on jeûne le jour précédent. Est-ce une recommandation du Prophète (bénédiction et salut soient sur lui)?

M’est-il permis de jeûner que l’Achoura sans le faire suivre ou précéder du jeûne d’un jour ?

J’ai entendu que le fait de jeûner le jour d’Achoura entraîne la rémission des péchés de l’année précédente en vertu de la parole du Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) : Je compte sur Allah pour que le jeûne observé le jour d’Achoura expie les péchés commis pendant l’année précédente. Est-ce exact ? Cette rémission s’applique-t-elle à tous les péchés même les majeurs ? Qu’est-ce qui explique l’importance de ce jour ?

La sunna enseigne-t-elle le fréquent recours au jeûne pendant le mois de Muharram ? Ce mois possède-t-il un mérite particulier par rapport aux autres mois ?

Est-il permis à la famille de se regrouper - invitant frères et cousins – pour manger ensemble lors des fêtes et cérémonies (j’entends par cérémonies celles marquant la célébration de l’anniversaire du Prophète et celle marquant la célébration du 10e jour du nouvel an musulman) Comment juger celui qui le fait après avoir mémorisé le Coran ?